L'essentiel de la musique classique de Noël pour l'audiophile

Une sélection incontournable proposée par notre expert en musique classique : les plus beaux enregistrements inspirés de l’esprit de Noël.

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L'essentiel de la musique classique de Noël pour l'audiophile

Une sélection incontournable proposée par notre expert en musique classique : les plus beaux enregistrements inspirés de l’esprit de Noël.

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L’arrivée du temps des fêtes rime souvent, pour les mélomanes audiophiles, avec plus de temps libre et donc davantage d’occasions de profiter de leur chaîne stéréo. Voici donc pour vous quelques recommandations personnelles de disques classiques sur le thème de Noël qui feront scintiller vos appareils audio.

Les tubes de Noël

Avant d’aller plus loin, je vous mentionne que je ne suis pas vraiment amateur des chansons traditionnelles du temps des fêtes, même lorsqu’elles sont revêtues d’un habit classique. Plusieurs vedettes de la planète classique se sont prêtées à cet exercice, et les résultats sont, à mon humble avis, rarement prodigieux. Si la tradition est essentielle pour vous, je vous orienterais vers les albums de Bryn Terfel (Deutsche Grammophon, reprises des airs connus en anglais et en gallois), de Leontyne Price et Herbert von Karajan à Vienne (Decca, ils en offrent beaucoup — trop, même — pour ce que le client demande), ou encore de Renée Fleming avec son charmant Christmas in New York (Decca, plus jazz que classique).

Côté musique classique pure, Tchaïkovski est bien entendu incontournable pour son ballet Casse-Noisette, qui suscite l’émerveillement des petits comme des grands. Les audiophiles opteront pour la version décapante d’Antal Doráti avec l’Orchestre symphonique de Londres (Mercury) ou celle, débordante de couleurs chatoyantes, de Sir Simon Rattle à Berlin (EMI). Personnellement, je préfère nettement La Belle au bois dormant, l’autre ballet de Tchaïkovski lié à l’enfance, beaucoup plus abouti et divertissant sur le plan musical. Là encore, Antal Doráti à Londres (Philips/Universal) est imbattable et me donne à chaque audition l’envie de mettre mon tutu. Ou presque…

Enfin, et cela risque de vous décevoir, le célèbre Messie de Haendel, traditionnellement joué partout — vraiment partout, sur toutes les scènes des grandes villes pendant le temps des fêtes — a en fait été écrit pour… Pâques ! Si vous ne souhaitez pas perdre votre habitude de prendre votre dose d’« Hallelujah » près du sapin, je vous comprends, je le ferai aussi ! De mon côté, j’opte habituellement pour la version de René Jacobs (Harmonia Mundi), une grande référence, tant pour l’interprétation que pour la qualité de la prise de son.

Mes disques chouchous

Bach : Oratorio de Noël

Philippe Herreweghe (direction)
Collegium Vocale, Gand
Erato B004OGDW4C

C’est l’époque baroque qui nous a laissé les œuvres les plus intéressantes sur le thème de la Nativité. On pense notamment à Schütz et son Weihnachtshistorie SWV 435 (L’Histoire de la Nativité) de 1664, à Charpentier et sa Messe de Noël H.9, et surtout à Jean-Sébastien Bach, qui a laissé pour la postérité de nombreuses cantates de Noël ainsi que son somptueux Weihnachtsoratorium BWV 248 (Oratorio de Noël) de 1734.

Parmi toutes les excellentes versions disponibles, je suis toujours resté attaché à celle que Philippe Herreweghe a enregistrée en 1989 pour Virgin Classics, désormais disponible chez Erato. Chacune des six parties de cet oratorio (ou six cantates) est proposée dans un écrin musical de haut vol. Le chœur du Collegium Vocale de Gand ainsi que son orchestre sont formidables, avec des voix chatoyantes et une pleine maîtrise instrumentale. Notons la présence de Pierre Hantaï, alors peu connu, à l’orgue, ainsi que son frère Jérôme à la flûte.

Côté solistes, on trouve ici de grands noms : Barbara Schlick, Michael Chance, Howard Crook et Peter Kooij. Herreweghe a su amalgamer, en un tout cohérent, la beauté purement plastique de la musique, la piété du texte et l’allégresse liée à la Nativité. Un très grand disque, et une excellente prise de son où l’auditeur est situé devant une large scène sonore. Idéal pour savourer une magnifique fresque musicale.


Britten : A Ceremony of Carols

New London Children’s Choir
Ronald Corp
Naxos 8553183

Vous connaissez certainement l’album A Charlie Brown Christmas du Trio Vince Guaraldi. Les Friday Afternoons de Benjamin Britten en sont un peu le pendant, très anglais indeed, dans la musique dite classique, en ce sens que le chœur de jeunes garçons rappelle les sonorités toutes juvéniles de l’album de Guaraldi.

Britten composa cette collection de 12 chansons entre 1933 et 1935 pour les élèves d’une école primaire du Pays de Galles dirigée par son frère aîné. Ce dernier offrait des cours de chant choral les vendredis après-midi, d’où le nom de ce cycle des plus enchanteurs. Même si une seule des chansons (New Year Carol) traite officiellement du temps des fêtes, j’associe l’ensemble du cycle à cette période.

En fait, ce disque est vraiment un disque de Noël, puisqu’il porte le nom d’un autre cycle de chansons dédiées à la Nativité, A Ceremony of Carols, une collection de chansons du Moyen Âge et de la Renaissance sur ce thème. Dans le cas du présent disque, je préfère un tantinet l’interprétation de Ronald Corp, très classique et juvénile, à celle de Britten lui-même sur Decca, plus moderniste à quelques égards. En revanche, la prise de son Naxos n’égale pas celle dont bénéficie la version Britten. À vous d’en juger.

De toute manière, ne boudons pas notre plaisir, car la version Corp touche immédiatement au cœur.


Elgar : The Starlight Express

Scottish Chamber Orchestra
Sir Andrew Davis
2 SACDs, Chandos CHSA 5111(2)

The Starlight Express — aucun lien avec la comédie musicale Starlight Express d’Andrew Lloyd Webber —, du compositeur britannique Edward Elgar, trône au sommet de la pile des disques que je chéris le plus pour agrémenter les semaines qui précèdent Noël. La musique, qui date de 1915, fut composée pour accompagner l’adaptation théâtrale du roman A Prisoner in Fairyland, d’Algernon Blackwood. L’histoire dépeint un monde fantastique peuplé d’enfants qui possèdent une lumière enchantée, une aptitude que les adultes ont perdue…

Sir Andrew Davis propose, dans cet enregistrement de 2012, une adaptation de la musique de scène avec soprano, baryton et un narrateur à la place des dialogues de la pièce originale, ce qui sied davantage au disque. Davis propose également, en complément, une suite orchestrale et vocale sans narrateur, condensé d’environ trois quarts d’heure fort réussi de musique de scène.

Paru en 2012, ce coffret généreux est rapidement devenu « mon » classique du temps des fêtes. Cela s’explique tout d’abord par l’interprétation étincelante, voire presque cinématographique, du chef. On ressent immédiatement toute l’affection qu’il porte à cette musique. Il y a aussi les chanteurs, tous excellents, et surtout le narrateur, l’ineffable Simon Callow, qui semble vraiment prendre plaisir à prêter sa voix à cette ribambelle de personnages, surtout les bambins.

La prise de son et la réalisation ajoutent à la magie de ce disque. Aérée et sans brillance, elle nous plonge dans une atmosphère qui sied parfaitement au temps des fêtes. Cet album est toujours disponible en CD/SACD (je n’ai pas entendu la piste SACD, offerte en stéréo et en 5.1) et offert dans un joli coffret cartonné agrémenté d’un livret bien documenté. Le téléchargement est possible en format 24/96 chez plusieurs fournisseurs, mais, sauf erreur, pas en DSD.


Noël baroque

François Lazarevitch
Les Musiciens de Saint-Julien
Alpha 266

Soyons chauvins un tantinet. En plus d’être superbement enregistré, le disque que je vous propose ici sort vraiment de l’ordinaire, même pour un album conçu autour de la Nativité à l’époque baroque. François Lazarevitch a soigneusement choisi ses textes dans la culture populaire et le folklore principalement français, en y associant la musique de grands musiciens « savants » du baroque français, comme Charpentier, Delalande, Balbastre, Dandrieu ou Daquin, qui se sont justement inspirés de ces trésors populaires pour créer leurs chefs-d’œuvre.

Saluons les choix de Lazarevitch, qui a opté pour des arrangements et des instruments aux saveurs populaires, comme les deux flûtes à bec et le basson pour les parties solistes du célèbre Concerto pour la nuit de Noël de Corelli. Quant aux textes, mentionnons l’extraordinaire « Jesous Ahatonhia » (« Jésus est né »), cantique en langue wendat — nation huronne vivant au cœur de ma belle ville de Québec, d’où la mention du départ ! — recueilli par Jean de Brébeuf au début des années 1640, ainsi que « C’est une fille muette », chanson traditionnelle québécoise.

Le tout est exécuté avec passion et respect par les Musiciens de Saint-Julien et magnifiquement chanté par les voix d’enfants de la Maîtrise de Radio-France. Un vrai bijou.

*

Plusieurs nouveautés dédiées à la Nativité ont retenu mon attention cette année, et j’en ai sélectionné trois pour vous, toujours en gardant à l’esprit de choisir méticuleusement des prises de son de premier ordre. Pour vous souhaiter la bonne année, je vous propose également quelques disques qui tournent dans mon lecteur CD dès le matin du 26 décembre.

Des nouveautés 2025 qui se démarquent


Feminine Voices at Christmas

Ensemble Altera, Christopher Lowrey
ALPHA 1182

Magnifique surprise ! Ce disque m’a captivé du début à la fin — impossible de n’écouter que quelques extraits ! Le programme, passionnant à plusieurs égards, regroupe des œuvres composées en grande majorité par des femmes et de toutes les époques. Le chef Christopher Lowrey n’a retenu pour cet enregistrement que les voix féminines de son Ensemble Altera, basé à Newport, Rhode Island, et qui enregistre depuis quelques années pour la maison de disque Alpha.

Dans le livret, le chef mentionne à propos du choix des partitions : « J’ai intercalé des œuvres d’au moins huit femmes avec de la musique — telle que Ceremony of Carols — peut-être mieux connue de nous, entièrement pour chœur d’enfants, mais initialement conçue pour chœur de femmes, dans l’espoir d’embrasser les nombreuses possibilités envoûtantes de la voix féminine. » L’envoûtement est le mot juste.

Seuls l’orgue et la harpe accompagnent le chœur, très homogène et d’une grande beauté plastique. La harpe, en particulier, crée dans plusieurs œuvres un halo presque mystique autour de la musique, comme c’est le cas notamment pour Welcome Joy and Welcome Sorrow, d’Imogen Holst, fille unique de Gustav Holst. Le plat de résistance est évidemment A Ceremony of Carols, de Britten, exécuté avec beaucoup de maîtrise et de finesse. Tout comme Britten, qui avait finalement arrêté son choix sur des voix de jeunes garçons pour son célèbre enregistrement (Decca), je préfère un tantinet les timbres juvéniles dans cette œuvre, mais les voix de femmes et l’interprétation assurée de Lowrey apportent beaucoup à la compréhension du cycle.

Le mérite de ce disque est donc d’offrir un programme qui sort des sentiers battus, en proposant quelques pépites, tout en enveloppant l’auditeur d’une douce lumière.


Charpentier : Baroque Christmas

Christophe Rousset
Soli Deo Gloria

La Messe de Minuit pour Noël H. 9 de Marc-Antoine Charpentier (1643–1704), composée vers 1694 pour l’église jésuite Saint-Louis de Paris, sise sur l’Île Saint-Louis, tout près de la cathédrale Notre-Dame, est, avec l’Oratorio de Noël de Bach, l’une des œuvres baroques les plus jouées à Noël. Parue fin septembre 2025, cette version du claveciniste et chef français Christophe Rousset, publiée sous l’étiquette Soli Deo Gloria de John Eliot Gardiner, avec le Monteverdi Choir et les English Baroque Soloists, fera certainement date.

Nous reviendrons plus loin sur l’interprétation, mais tout d’abord, quelques mots sur le programme. Rousset a choisi In nativitatem Domini canticum H. 416 (Un chant pour la Nativité du Seigneur) pour ouvrir le programme. L’excellent livret du musicologue Andrew Frampton — exclusivement en anglais malheureusement — nous apprend qu’il s’agit de l’un des 35 oratorios — ou motets dramatiques — laissés par Charpentier, et de l’un des quatre composés spécifiquement pour Noël. On y perçoit aisément l’influence italienne de son maître Carissimi, avec qui il étudia à Rome. Cette mention est importante, car elle illustre la volonté de Charpentier d’amalgamer le style italien dans la musique française, alors que Jean-Baptiste Lully, compositeur officiel de Louis XIV et lui-même d’origine italienne, s’efforçait de gommer toute influence transalpine dans la musique française.

Entre ce sublime motet, plein de piété et de révérence, et la Messe de Minuit pour Noël, Rousset a choisi quatre extraits des deux suites de pièces instrumentales appelées Noëls sur les instruments, H. 531 et H. 534, un genre de mise en bouche musicale extrêmement bien joué. Viennent ensuite la fameuse Messe de Minuit pour Noël et enfin quatre autres extraits des Noëls sur les instruments.

La Messe, prise ici à « hauteur d’homme », dirons-nous, puisqu’en comparaison avec plusieurs autres enregistrements, Rousset assoit, pour ainsi dire, l’auditeur près de la crèche. Il évite en effet de sortir les feux d’artifice comme l’a fait Marc Minkowski dans sa version très (trop?) spectaculaire et virtuose. Au final, Rousset, avec un programme savamment dosé entre faste et recueillement, propose un disque parfait pour le temps des fêtes que l’on peut réécouter plusieurs fois sans fatigue. La prise de son, à la fois précise, bien spatialisée et chaleureuse, est parfaitement adaptée au propos artistique du chef.


A. Scarlatti : Christmas at the Bethlehem of the West

Coro e Orchestra Ghislieri, Giulio Prandi
Arcana A587

Le titre « Noël à la Bethléem d’Occident » de ce magnifique album mérite une mise en contexte. Il fait référence à la basilique Sainte-Marie-Majeure, à Rome, réputée à l’époque baroque pour le faste avec lequel y était célébré Noël. Cette réputation reposait en grande partie sur des siècles de dévotion, comme l’illustre la crèche offerte en 1291 par le pape Nicolas IV, faite de statues de marbre signées du célèbre Arnolfo di Cambio. Cette crèche impressionna à tel point — on peut d’ailleurs encore l’admirer de nos propres yeux — que la basilique fut surnommée la « Bethléem d’Occident », d’où le titre de l’album.

Ce décor offre une belle occasion au chef Giulio Prandi de proposer un sublime programme consacré avant tout à Alessandro Scarlatti (1660-1725) et constitue aussi une manière de clore, en cette année 2025, le 300e anniversaire de la mort du grand compositeur. En effet, Alessandro Scarlatti — à ne pas confondre avec son fils Domenico, auteur d’environ 555 sonates pour clavecin, qui font les délices des clavecinistes et des pianistes — a composé plusieurs œuvres, en 1707, pour Sainte-Marie-Majeure.

Plus connu pour ses quelque 70 opéras — drames et commedie per musica — en très grande majorité écrits et créés à Rome, Alessandro Scarlatti a dû s’accommoder, à plusieurs reprises au cours de sa carrière, de postes de maître de chapelle. Ce fut le cas en 1707, où il fut maître de chapelle à Sainte-Marie-Majeure. Le chef Giulio Prandi a choisi trois œuvres de Scarlatti composées pour les fêtes de Noël 1707, soit la messe Per il Santissimo Natale (Messe du très saint Noël) et les motets Beata Mater et O magnum mysterium, ainsi que la cantate pastorale de chambre Non so qual più m’ingombra H. 476 de 1716.

Le programme est complété par la très belle Messa a quattro concertata con violini per la notte di Natale (Messe concertante à quatre pour la nuit de Noël) de Giovanni Giorgi (?-1762), elle aussi composée pour Sainte-Marie-Majeure et offerte ici en première mondiale au disque. Nous tenons ici un très beau disque de musique baroque qui donne à l’auditeur une excellente idée de ce qui se passait au début du XVIIIe siècle dans les églises romaines pour souligner la Nativité. Portée par une prise de son très transparente, l’interprétation de Prandi illustre avec goût la dimension intimiste et faste que pouvait prendre sa musique religieuse.

Disque pour le nouvel an


Harnoncourt : Neujahrskonzert 2001

Philharmonique de Vienne
Teldec 8573-83563-2 / Warner 5050466-2244-2-2

Si je suis à la maison le matin du 26 décembre, je réveille la maisonnée avec le fabuleux album du chef viennois Nikolaus Harnoncourt, enregistré en janvier 2001 lors du traditionnel concert du Nouvel An du Philharmonique de Vienne, le Wiener Philharmoniker Neujahrskonzert en allemand. Le disque existe en CD, en DVD-Audio et en DVD vidéo (Europe seulement), mais n’est disponible en streaming qu’en format 16/44.

Cette tradition, qui remonte à 1939, tout juste avant le début de la Seconde Guerre mondiale, met en scène les plus grands chefs de l’heure, qui viennent diriger l’un des meilleurs orchestres au monde (mon préféré, je le mentionne) dans le riche répertoire des valses viennoises. Dans le cas d’Harnoncourt, qui a également été chef invité pour le concert de 2023, la prise de son très naturelle et en relief met les percussions à l’avant-plan. Un vrai nectar pour les audiophiles qui ne rechignent pas à faire jouer des valses de temps à autre.

L’édition 2026 mettra en vedette le chef québécois Yannick Nézet-Séguin. La tradition veut que l’enregistrement soit disponible une dizaine de jours après l’événement.


La traverse miraculeuse

Les Charbonniers de l'Enfer, La Nef
ATMA ACD2 258

L’autre disque que j’écoute le plus au début de chaque année met en vedette la musique traditionnelle québécoise et acadienne, une tradition encore bien ancrée dans plusieurs familles. Il s’agit de l’album La traverse miraculeuse, résultat de l’extraordinaire rencontre entre l’ensemble La Nef, spécialisé en musique ancienne et de tradition orale, et les Charbonniers de l’enfer, l’une des meilleures formations de musique traditionnelle québécoise.

Ce disque propose une généreuse collection de chansons récoltées au Québec et en Acadie par les membres des Charbonniers de l’enfer, dans des habits musicaux à l’ancienne et des plus savants. Les textes tournent autour de la thématique de la Conquête de la Nouvelle-France par les Anglais (vers 1759) et des dangers liés à la traversée de l’océan Atlantique qui séparait la Nouvelle-France de la mère patrie. La prise de son absolument géniale, signée Anne-Marie Sylvestre, a fait décrocher la mâchoire de plusieurs de mes amis audiophiles. Gâtez-vous !

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