
Joe Cocker a percé en 1968 avec une reprise soul et valsée de "With a Little Help from My Friends", réalisée avec Chris Stainton et l'as du studio Jimmy Page, qui a lancé une ascension transatlantique couronnée par Woodstock.

Alors que les Supremes et les Temptations, icônes de la Motown, s'affrontaient pour dominer les hit-parades en 1966-1967, les pionniers de la soul et du funk psychédéliques comme Sly Stone et James Brown ont commencé à remodeler le son de la musique noire - avec des breaks de batterie, de la distorsion et du feu.

J'ai rencontré Dave Frost, directeur du développement commercial et responsable de l'exportation des produits audio domestiques pour le fabricant britannique de haut-parleurs PMC Ltd - un rôle de rêve, selon Dave, qu'il a réussi à obtenir il y a six ans avec un peu de persévérance et l'aide d'un ami - dans un resto-bar chic de la banlieue de Montréal, dans le cadre de sa [...]

Donna Summer et Moroder-Bellotte ont repoussé les limites du disco avec Once Upon a Time (1977), un double album conceptuel révolutionnaire. Des succès comme "MacArthur Park Suite" et Bad Girls ont consolidé son héritage en tant que reine du disco.

Donna Summer a révolutionné le disco avec Moroder et Bellotte, en mélangeant l'Eurodisco sensuel et les rythmes électroniques. Des tubes comme "Love To Love You Baby" et "I Feel Love" ont façonné la musique de danse et donné naissance à des genres électroniques.

En découvrant McLemore Avenue de Booker T. & the M.G. alors qu'il n'avait que 12 ans et ne connaissait pas les Beatles, Wayne E. Goins se souvient que cet hommage empreint de soul est devenu un classique personnel, bien avant qu'il ne se rende compte qu'il faisait écho à Abbey Road, note pour note.

Du jump blues au "What'd I Say" révolutionnaire de Ray Charles, en passant par les grands succès de la Motown et les grooves de Stax, cette vaste histoire retrace l'ascension de la musique soul - et les racines du disco - dans une Amérique en pleine transformation raciale et musicale.

Lyle Mays, l'architecte sonore introspectif du Pat Metheny Group, fait des adieux dignes de ce nom avec Eberhard, un chef-d'œuvre posthume d'envergure coproduit avec sa nièce, Aubrey Johnson, dont la voix aide à faire passer la dernière vision de Mays.

En remontant aux chants d'esclaves, aux "chain gangs" et aux contre-cultures swing, l'article montre comment le rythme s'est transformé en un mouvement, rendu possible non pas par les concerts, mais par les disques et l'enregistrement multipiste.