
Du jump blues au "What'd I Say" révolutionnaire de Ray Charles, en passant par les grands succès de la Motown et les grooves de Stax, cette vaste histoire retrace l'ascension de la musique soul - et les racines du disco - dans une Amérique en pleine transformation raciale et musicale.

Lyle Mays, l'architecte sonore introspectif du Pat Metheny Group, fait des adieux dignes de ce nom avec Eberhard, un chef-d'œuvre posthume d'envergure coproduit avec sa nièce, Aubrey Johnson, dont la voix aide à faire passer la dernière vision de Mays.

En remontant aux chants d'esclaves, aux "chain gangs" et aux contre-cultures swing, l'article montre comment le rythme s'est transformé en un mouvement, rendu possible non pas par les concerts, mais par les disques et l'enregistrement multipiste.