
Le MC Rudy Radelic nous rend visite avec des rééditions méconnues, un hommage posthume à Ozzy, et une plongée en profondeur dans les secrets des vinyles de Prince — là où les véritables trésors ne se trouvaient jamais sur la face A.

Dans les coulisses de Villa Park, Ozzy Osbourne et Yungblud ont partagé un moment brut. Pas de discours, pas de mise en scène — juste une croix sertie de pierres, un sourire, et le poids silencieux d’une époque qui, doucement, en laissait émerger une autre.

Après avoir défié la mort pendant des décennies, Ozzy Osbourne quitte ce monde comme il l’a habité : bruyamment, dans le chaos, et de façon inoubliable. Mark Lepage retrace la métamorphose d’Ozzy, de sauvage mordeur de chauve-souris à véritable institution culturelle.

Dans ce premier numéro d'automne, l'auteur Rudy Radelic présente une comparaison, quelques gagnants, une grande déception et une poignée d'autres titres remarquables qu'il a trouvés.

Depuis qu'il a intronisé des légendes comme Chuck Berry et Elvis, le Rock Hall a perdu des générations. La sélection hétéroclite de cette année - Cher, Foreigner, Dave Matthews Band - soulève la question suivante : s'agit-il encore de mérite ou simplement de célébrité ?

Par une froide journée de février 1970, le monde a découvert ce qui allait devenir la pierre angulaire du heavy metal : le premier album éponyme de Black Sabbath. Né dans le cœur industriel de Birmingham, l'album, par sa puissance brute et ses thèmes sombres, a trouvé un écho auprès d'une génération qui aspirait à quelque chose de plus profond que les sons pop et rock dominants.....

C'était le 20 janvier 1982, à Des Moines, dans l'Iowa, une froide nuit d'hiver qui allait entrer dans les annales de l'histoire du rock'n'roll comme l'une des plus choquantes et des plus bizarres. Sur scène, au milieu d'une mer de coups de tête et d'un bourdonnement électrique d'anticipation, se trouvait Ozzy Osbourne, le Prince des Ténèbres...