En 1970, Elton John, un musicien britannique au visage frais, prend l'avion pour Los Angeles, une ville où les rêves peuvent se faire et se défaire. S'étant déjà fait un nom au Royaume-Uni, Elton avait un objectif simple : présenter sa musique au public américain et voir si elle résonnait comme elle l'avait fait...
Le 13 juillet 1975, le Roxy Theatre de Los Angeles est électrisé par les sons de Bob Marley & The Wailers dans le cadre de leur tournée "Natty Dread". Au milieu de la foule de fans se trouve un visage familier, George Harrison, le Beatle connu pour sa maîtrise de la guitare slide. Lorsque Marley apprend que Harrison
La scène, éclairée uniquement par des projecteurs et la douce lueur des amplificateurs, est devenue sa toile. Dès les premiers riffs, le public est envoûté. Chaque note, chaque accord n'était pas seulement entendu, mais ressenti
La célèbre chanteuse dublinoise Sinéad O'Connor, dont le décès a été annoncé mardi, a sorti 10 albums studio, tandis que sa chanson Nothing Compares 2 U a été classé premier single mondial en 1990 par les Billboard Music Awards. Tout au long de sa carrière musicale, elle est une figure frappante et un vent de rafraichissement sans équivoque.
Dans un monde régi par les cordes douces et sombres des guitares acoustiques, il y a eu une nuit où un homme a osé défier le système. Cet homme s'appelait Bob Dylan et la date était le 25 juillet 1965. Le monde de la musique folk, et en fait le spectre plus large de la musique populaire, était sur le point de changer à jamais
Badfinger, fils prodigue d'Apple Records, était sur le point d'hériter de l'héritage des Beatles - avec la main de George Harrison - mais dans les coulisses, les troubles, la négligence du label et les fractures internes ont commencé à défaire leur occasion en or.
George Harrison les a défendus, Paul McCartney a produit leur premier tube et Apple Records les a signés. Pourtant, les Iveys (bientôt Badfinger) ont failli disparaître avant même d'avoir commencé, victimes de dissensions internes et de remaniements au sein de l'entreprise.
Michael Fremer s'exprime franchement avec Gilles Laferriere sur la réception d'un prix surprise pour l'ensemble de sa carrière à l'Audiofest de Montréal, sur la critique des installations des exposants et sur son départ émouvant de Stereophile après avoir créé AnalogPlanet et défendu le vinyle pendant des dizaines d'années.