
Claude Lemaire entame sa série en sept parties intitulée "Diving into Disco" en défendant la légitimité culturelle et la richesse sonore du disco, tout en retraçant ses racines dans la libération gay et en remettant en question sa sous-estimation persistante parmi les audiophiles.

Dans un jardin paisible, le maître Tekashi guide son élève Daichi dans l'art de l'équilibre sonore, comparant les câbles à des katanas, les DAC à des arcs et l'acoustique des pièces à la stratégie du champ de bataille, où le chemin vers la maîtrise audio reflète la quête éternelle du samouraï.

Badfinger, fils prodigue d'Apple Records, était sur le point d'hériter de l'héritage des Beatles - avec la main de George Harrison - mais dans les coulisses, les troubles, la négligence du label et les fractures internes ont commencé à défaire leur occasion en or.

Dans la dernière partie de cette interview franche, Michael Fremer défend le bon numérique, se fait le champion des critiques honnêtes, fait l'éloge de son protégé de 17 ans, Malachi Lui, et réfléchit au chemin parcouru par le vinyle et à son propre parcours.

George Harrison les a défendus, Paul McCartney a produit leur premier tube et Apple Records les a signés. Pourtant, les Iveys (bientôt Badfinger) ont failli disparaître avant même d'avoir commencé, victimes de dissensions internes et de remaniements au sein de l'entreprise.